En réponse à :
15 novembre 2012 19:45, par martin
Les 2 interlocuteurs précédents ont beau jeu de critiquer l’institution du TAP mais savent-ils que depuis la création de cette juridiction les libérations conditionnelles (même s’il ne faut pas réduire les compétences du TAP aux seules libérations conditionnelles) sont accordées avec plus de parcimonie que lorsque cette matière relevait du pouvoir exécutif ? Savent-ils qu’un très grand nombre de condamnés préfèrent aller à fond de peine ? Savent-ils que la libération conditionnelle est, pour un nombre croissant de condamnés, octroyée bien plus tard dans le processus d’exécution de leur peine depuis qu’il (...)