Le temps d’un élan - hommage à Edouard Jakhian

par Christine Matray - 23 mai 2013

Le ton de ce billet est inhabituel sur notre site. A nos fidèles internautes, nous présentons nos excuses. C’est que notre comité de rédaction est sous le choc de la nouvelle : Edouard Jakhian, homme d’exception, nous a quittés le 21 mai 2013.

Ce n’est pas le lieu de dresser l’inventaire des engagements, des combats et des courages de ce grand humaniste. Il suffira de dire ici que sans lui ce site n’existerait pas.

Edouard Jakhian fut étroitement associé à la rédaction du testament d’Emile Bernheim, son ami.

Il se rappela l’une des dernières phrases de ce testament instituant la fondation portant le nom d’Emile Bernheim lorsqu’il en vint à la présider : apporter sous différentes formes la promotion de la paix et (…) une contribution à l’épanouissement des valeurs humaines et civiques. C’est par fidélité à cet objectif qu’Edouard Jakhian favorisa la constitution de notre site dans le cadre de l’Institut d’études sur la justice.

Il s’organise toujours en nous, à l’annonce de la disparition d’un être qui, même de loin, nous fut proche, un grand silence. Celui du comité de rédaction de justice-en-ligne est habité de tristesse, de respect, de gratitude et d’une grande affection.

Votre point de vue

  • Gisele Tordoir
    Gisele Tordoir Le 26 mai 2013 à 18:33

    Je me joins à vous toutes et tous pour présenter mes sincères condoléances à la famille et aux proches , qu’ ils soient amis et/ou collègues, de ce grand monsieur qui disparaît, nous laissant ce site des plus utiles et intéressants. Quelle opportunité nous fut ainsi offerte pour nous exprimer, pour échanger nos avis, pour apprendre les uns des autres. Merci, monsieur Jakhian.

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  • skoby
    skoby Le 24 mai 2013 à 11:23

    Un homme de bien qui s’en va !
    Respect et Gratitude.

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  • Antoine NUGNES
    Antoine NUGNES Le 24 mai 2013 à 11:12

    bonjour,
    Je viens de m’inscrire à l’instant sur votre site. Je ne connais pas ce monsieur Edouard Jakhian. Néanmoins, néanmoins, il est de mon devoir de présenter mes SINCÈRES CONDOLÉANCES À TOUTE SA FAMILLE.

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