Et j’oubliais, avant d’être admise à la retraite (à sa demande ou pas ?), l’IA ne serait pas démob’, n’aurait pas l’énorme, scandaleux et injuste avantage de pouvoir rester à la maison, chez elle, sans prester du tout de temps de travail, deux ans avant ladite retraite et tout cela aux frais de la princesse, entendons bien aux frais des citoyens, contribuables et/ou justiciables. De plus, sa mise à la retraite ne coûterait pas un pont comme c’est le cas pour les magistrats "humains", par exemple. Je ne vois qu’une kyrielle de points positifs à l’IA. Il est temps de s’atteler à sa mise en (...)