Pour être efficace, l’intervention des seuls militaires belges auraient nécessité la « neutralisation » de nombreux « acteurs » indigènes (les FAR et son service de renseignements, la Gendarmerie, les miliciens Abakombozi, Impuza Mugambi, Inkuba et Interahamwe) et de certains étrangers (principalement français dont assurément certains membres très particuliers du 1er RPIMA et de la Direction du renseignement militaire) .
Le génocide n’aurait probablement pas eu lieu ... et dès lors qu’auraient été les commentaires et analyses de ces hauts défenseurs des droits humains ... « néocolonialisme, comme (...)