Imaginez qu’aujourd’hui, en Belgique, une femme victime de viol ne puisse bénéficier d’un avortement. Si cela peut paraître irréel, et surtout choquant, c’est pourtant la direction prise dans l’État de l’Alabama depuis le 15 mai 2019 et l’adoption par son Sénat d’un projet de loi prévoyant l’interdiction quasi totale de l’IVG (interruption volontaire de grossesse).Retour ligne automatique
Au travers du documentaire « Roe v. Wade : la véritable histoire de l’avortement », réalisé par Ricki Stern et Annie Sundberg, Thomas Demazy, Esther Gelders et Eline Toubeau étudiants du cours de « Sources et principes du droit », enseigné à la Faculté de droit de l’Université de Namur par le professeur Élise Degrave – se penchent sur une problématique qui ne cesse d’être actuelle…Retour ligne automatique
L’article montre le rôle des juridictions aux États-Unis sur une question aussi sensible que celle de la pratique légale de l’avortement. En Europe, plus spécialement en Belgique, c’est au Parlement que se déroule le débat. Des deux côtés de l’Atlantique, la question reste éminemment politique en fonction notamment des opinions philosophiques ou religieuses de chacun.
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Votre point de vue
skoby Le 27 mars 2020 à 17:59
Il est clair pour moi qu’une femme victime d’un viol puisse avorter !
Si sous prétexte de religion, certaines personnes refusent ce droit, je mets
leur croyance en doute, car c’est un manque flagrant du respect auquel cette
femme a droit. Qu’on mette des règles en place par accepter ou refuser les
avortements, je suis pour. Mais il faut rester humain !
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