Bonjour,
Après avoir lu cet article, deux choses m’interpellent.
1°) Le délai très long (9 mois) de remplacement d’un magistrat admis à la pension de retraite : n’y a-t-il par un souci inavoué d’économies budgétaires momentanées dès lors qu’il serait techniquement possible de faire en sorte qu’il n’y ait pas de "vide" entre le départ et l’arrivée du successeur ?
2°)Comment justifier que le Bâtonnier soit consulté sur la nomination du successeur ? N’y a-t-il pas un risque au niveau de l’indépendance du magistrat successeur ?
Guy Laporte
Président honoraire
de Tribunal administratif (...)