Dans une société organisée il y a des règles établies, à la charge et en devoir de tous.
dès lors qu’on y adhère sans réserve, on est en droit d’exiger réciprocité de la société.
dans le cas de figure où un individu rencontre des obstacles attentatoires à sa quiétude, et, s’adressant à la justice pour la voir lui garantir ses droits, il se retrouve confronté à escalade, chaque échelon de magistrature saisis, de pratique "du corporatisme", couvrant ainsi les irrégularités des précédants :
cette personne devra-t-elle accepter ce dictact, où en est elle sujet à querulence si elle persiste à exiger ses droits ?
Dans une société organisée il y a des règles établies, à la charge et en devoir de tous.
dès lors qu’on y adhère sans réserve, on est en droit d’exiger réciprocité de la société.
dans le cas de figure où un individu rencontre des obstacles attentatoires à sa quiétude, et, s’adressant à la justice pour la voir lui garantir ses droits, il se retrouve confronté à escalade, chaque échelon de magistrature saisis, de pratique "du corporatisme", couvrant ainsi les irrégularités des précédants :
cette personne devra-t-elle accepter ce dictact, où en est elle sujet à querulence si elle persiste à exiger ses droits ?