Je rejoins les intervenants précédents, je considère, que la loi Salduz est absurde, jusqu’à preuve du contraire.
La présence d’un avocat, présent lors du premier interrogatoire d’une personne dont les faits commis laissent à penser, qu’elle risque d’être privée de liberté, a-t-elle déjà empêché la privation d’ une incarcération ?
Quant au droit déontologique de faire grève, les avocats n’ont aucun autre moyen de faire pression sur un gouvernement, qui ne respecte pas ses obligations.
Le respect des promesses faites, concerne aussi le gouvernement.
La loi Salduz est plutôt contre-productive pour les forces (...)