Même si je reconnais que l’enfance et surtout les conditions dans lesquelles la personne la vit (subit) ou l’a vécue (subie) sont à la base de l’évolution sociale et de la place que l’on va occuper dans la société, je ne peux accepter que l’on s’en serve comme "excuses" dans le cas du passage à l’acte crapuleux. Nul n’a le droit de s’en prendre à autrui, qu’il soit humain, animal ou végétal, dans le seul but de lui faire du mal, de le faire souffrir encore moins de lui retirer la vie. Certes l’enfance peut expliquer mais ne peut en rien tout excuser. Il n’y a dès lors aucune raison que cela réduise la (...)