Le souci, c’est que la Justice ne peut pas vivre avec les familles. Moi j’ai une expérience traumatisante pour moi et mon enfant. Je m’enfuis et gagne mon divorce pour maltraitances, et la Justice estime qu’être un mauvais mari n’est pas forcément être un mauvais père. Conclusion, on saute de médiations en guidances inutiles depuis 2 ans et notre enfant pâtit du manque de communication entre moi et mon ex. Et la justice poursuit - malgré une déscolarisation de notre enfant de la part du papa les jours où il en a la garde et plusieurs soucis de non assistance - son train-train pour l’égalité des droits (...)