Pourquoi ne supprime-t-on pas les immunités de juridiction de façon à ce tout le monde soit jugé de la même manière ?
8 février 2015, 14:29, par Gisèle Tordoir
Cette question s’impose, à mes yeux, également pour les juges, pour les magistrats, pour les procureurs. Pourquoi ces personnes ont-elles droit à l’immunité de juridiction ? Pourquoi peuvent-elles choisir par qui elles estiment acceptable d’être jugé ? Ou devant qui elles acceptent de passer en jugement ? C’est comme le huis clos. De quel droit certains peuvent demander de passer en jugement de façon intime, privée alors que le citoyen lambda doit passer en audience publique ? C’est quoi cette "justice" à X vitesses, à X niveaux ??? C’est quoi cette "justice" préservée, protectionniste de la caste, quelle qu’elle soit ??? Il paraît que nous sommes tous égaux devant la Loi...Quand cela se verra-t-il vraiment pratiqué ? A notre époque de changements si rapides, comment peut-on encore fonctionner avec des relents si moyenâgeux ? Quand la relève prendra-t-elle ses fonctions, ses responsabilités ? Quand aura-t-elle le courage de bouger, de se remettre en question, de s’améliorer, de se rapprocher vraiment du citoyen ? Utopie, peut-être mais surtout souhait véritable répondant à un besoin de retrouver la confiance en ce pilier indispensable de notre société qu’est la Justice...
Cette question s’impose, à mes yeux, également pour les juges, pour les magistrats, pour les procureurs. Pourquoi ces personnes ont-elles droit à l’immunité de juridiction ? Pourquoi peuvent-elles choisir par qui elles estiment acceptable d’être jugé ? Ou devant qui elles acceptent de passer en jugement ? C’est comme le huis clos. De quel droit certains peuvent demander de passer en jugement de façon intime, privée alors que le citoyen lambda doit passer en audience publique ? C’est quoi cette "justice" à X vitesses, à X niveaux ??? C’est quoi cette "justice" préservée, protectionniste de la caste, quelle qu’elle soit ??? Il paraît que nous sommes tous égaux devant la Loi...Quand cela se verra-t-il vraiment pratiqué ? A notre époque de changements si rapides, comment peut-on encore fonctionner avec des relents si moyenâgeux ? Quand la relève prendra-t-elle ses fonctions, ses responsabilités ? Quand aura-t-elle le courage de bouger, de se remettre en question, de s’améliorer, de se rapprocher vraiment du citoyen ? Utopie, peut-être mais surtout souhait véritable répondant à un besoin de retrouver la confiance en ce pilier indispensable de notre société qu’est la Justice...