Peut-être le ronronnement rassurant d’une grandeur d’âme élevée et du rappel infatigable des Droits de l’Homme peuvent-ils satisfaire certains responsables et les faire durer jusqu’à épuisement.
A moins que l’Institution ne succombe avant eux. En tout cas elle doit s’affirmer davantage, non seulement comme une tribune pour les ONG, mais comme un acteur puissant et tenace de la géopolitique mondiale.
Pas seulement comme agence de voyage de Commissions multiples non plus.
Pour Strasbourg, il restera toujours la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour un certain temps (...)