En effet, depuis le 01 08 07, nous avons travaillé avec des parents de mineurs ayant commis des faits qualifiés infraction. Sur + de cent parents, environ 2/3 ont accompli les 30 heures prévues et s’en sont trouvés très soulagés. Ils ont compris qu’ils n’étaient pas seuls à vivre cette expérience d’échec avec leur jeune ; ils ont retrouvé durant les heures de réunions de groupes de parents, l’estime d’eux-mêmes, et du même coup une crédibilité face à leurs adolescents. Ceux-ci ont pu réagir de deux façons : les premiers ont abandonné leurs actes transgressifs ; et un autre groupe a tenté de remonter le temps (...)