La manifestation d’un élémentaire savoir-vivre réside, à mon avis, davantage dans le fair-play, la politesse, le respect, la courtoisie, le fait d’apporter une réponse à des questions posées, à des observations et/ou remarques faites, à des précisions et éclaircissements demandés qu’en des simulacres d’entente, de discussions entre avocats. La comédie est d’autant moins acceptable quand l’un des avocats est un ex-bâtonnier. Il en va de même pour les courriers échangés entre avocats ; courriers dont l’on n’a jamais (ou que trop rarement) aucune trace et cela, sous le prétexte de la confidentialité... J’en veux (...)