Je ne suis pas surprise et même plutôt rassurée que la justice fasse l’objet de tant de démonstrations d’intérêt artistique, que ce soit via l’opéra, la littérature, le théâtre ou le cinéma. Je suis convaincue que ce pilier qui devrait être le garant de l’équité, du discernement, de la conscience, de la réflexion, d’interrogations, de décisions, ô combien conséquentes, est trop souvent ébranlé et fragilisé par ses acteurs. Que de drames, de désespoirs a-t-elle engendrés ?...Que de vies a-t-elle brisées ?... Que d’innocents a-t-elle condamnés ?...Que de révoltes a-t-elle provoquées ?...Que de questions a-t-elle (...)