Je salue au passage la conclusion de Mme Valérie Junod.
Mais, « 4. Commençons par le « bon » côté des choses.
La Cour européenne des droits de l’homme a posé – déjà en 2008 – six critères pour déterminer quand et si un whisteblower mérite protection au regard de l’article 10 CEDH sur la liberté d’expression. »
Ca c’est une bonne idée.
A propos du dessein, et à défaut du destin, curieusement architecturé de cette cour, saviez-vous que les juges de la CEDH - Cour Européenne des Droits de l’Homme - sont nommés sur des listes de trois noms présentés par chaque exécutif de chaque Etat, puis élus par l’assemblée (...)