Gisèle, je pense que vous vous trompez sur un point, il ne s’agit pas de "droits de l’homme", mais d’idéologie. Ils savent très bien ce qu’ils font, et c’est pour cela qu’ils le font.
Si la justice pouvait sécréter les bons anticorps pour se débarrasser des agents pathogènes, on ne devrait plus s’interroger douloureusement sur l’état d’avancement de notre démocratie ou sur la sauvegarde de notre état de droit.
Parallèlement on peut compter notamment sur les politiques pour verrouiller leurs postes en donnant l’apparence qu’il est possible de faire quelque chose.
Selon la chronique ci-dessus, le protocole (...)