« Que de peines silencieuses dans une peine de prison ! Certaines personnes, on ne les entend plus mais on entend parfois des cris à travers les barreaux. C’est que ça vit là-dedans, ça crie, ça souffre, ça pleure… […]. Là plus qu’ailleurs, il faut laisser libre cours à la parole, c’est une question d’urgence, de nécessité […] », explique un membre de la Commission de surveillance de la prison de Tournai.
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