Sans vouloir offenser Laurent KENNES, auteur de la chronique, je souhaite faire part d’un sentiment de plus en plus largement partagé.
Toutes les lois votées sont purement cosmétiques. Elles n’ont pas su, pas pu ou pas voulu toucher à l’architecture du système judiciaire, en particulier dans ce qu’il y a de plus déviant et criminogène.
Il faut en effet interroger les dispositifs normatifs et les politiques publiques qui en amont mettent en place des systèmes aussi dérégulés et criminogènes.
On regarde ailleurs et, dans les mêmes bureaux aseptisés, on continue de rédiger des chartes inutiles. Il en va (...)