Quand je lis qui sont les réfugiés majoritaires sur cette île de Moria, afghans et originaires d’Afrique subsaharienne, pourquoi, monsieur Oschinsky, pointez-vous les avocats parlant arabe ? Je ne vois guère de tel engouement de la part d’avocats pour se préoccuper "du dénuement, sans aide juridique pour faire valoir ses droits." (sic) quand il s’agit de sans-abri chez nous, au pays, en Belgique...L’humanitaire, trop souvent, est plus intéressé de ce qui se passe loin plutôt que tout près (trop près, pas assez dépaysant sans doute...). En Belgique, l’accès à la justice pour toutes et tous est loin (...)