Certes, mais les milliards entassés dans les coffres-forts des paradis fiscaux n’ont jamais eu comme vocation une quelconque destination humanitaire. En revanche, le financement de désordres sociaux, guerres .... ?
Swissleaks (fev 2015) révélaient que le montant de la fraude fiscale (de la seule HSBC) qui transitait par la Suisse s’élevait à 180 milliards d’euros et concernait plus de 100 000 clients et 20 000 sociétés offshore : trafiquants d’armes, chefs d’entreprises, criminels internationaux, politiques (femmes et hommes, parité oblige), souverains, sportifs de haut niveau, stars du show bizz. (...)